Comment ce médicament agit-il ? Quels sont ses effets ?

L'insuline est une hormone naturellement produite par le pancréas. Elle aide le corps à utiliser ou à entreposer le glucose (le sucre) qui lui provient des aliments. Quand une personne est atteinte de diabète, le pancréas ne sécrète pas suffisamment d'insuline pour répondre aux besoins de son corps, ou son corps ne peut pas utiliser convenablement l'insuline produite. Comme le glucose ne peut pas être utilisé ni entreposé convenablement, il s'accumule dans la circulation sanguine. L'insuline injectée sous la peau contribue à abaisser le taux de glucose sanguin. L'insuline glulisine s'utilise pour traiter les adultes qui doivent employer de l'insuline en raison d'un diabète de type 1 ou d'un diabète sucré de type 2. Elle est également indiquée dans le traitement des enfants de 6 ans ou plus atteints du diabète sucré de type 1.

Il existe de nombreux types d'insulines de toutes sortes et elles se différencient par leur rapidité d'absorption et leur durée d'action. L'insuline glulisine se caractérise par sa rapidité d'action. Il lui faut 5 minutes pour commencer à agir après l'injection. Elle atteint son pic d'action entre 30 et 90 minutes et cesse d'agir dans un intervalle de 2 à 4 heures.

Il se pourrait que votre médecin ait suggéré ce médicament contre une affection qui ne figure pas dans cet article d'information sur les médicaments. En outre, certaines formes de ce médicament pourraient ne pas être utilisées pour tous les troubles mentionnés dans cet article. Si vous n'en avez pas encore discuté avec votre médecin, ou si vous avez des doutes sur les raisons pour lesquelles vous employez ce médicament, consultez-le. Ne cessez pas d'employer ce médicament sans avoir consulté votre médecin au préalable.

Ne donnez pas ce médicament à quiconque, même à quelqu'un qui souffre des mêmes symptômes que les vôtres. Ce médicament pourrait nuire aux personnes pour lesquelles il n'a pas été prescrit.

Sous quelles formes ce médicament se présente-t-il ?

Fioles
Chaque millilitre (mL) de solution stérile pour injection contient 100 unités d'insuline glulisine. Ingrédients non médicinaux : m-crésol, trométamol, chlorure de sodium, polysorbate 20 et eau pour injection. Ingrédients potentiellement présents : acide chlorhydrique et hydroxyde de sodium pour équilibrer le pH.

Stylos injecteurs
Chaque millilitre (mL) de solution stérile pour injection contient 100 unités d'insuline glulisine. Ingrédients non médicinaux : m-crésol, trométamol, chlorure de sodium, polysorbate 20 et eau pour injection. Ingrédients potentiellement présents : acide chlorhydrique et hydroxyde de sodium pour équilibrer le pH.

Cartouches
Chaque millilitre (mL) de solution stérile pour injection contient 100 unités d'insuline glulisine. Ingrédients non médicinaux : m-crésol, trométamol, chlorure de sodium, polysorbate 20 et eau pour injection. Ingrédients potentiellement présents : acide chlorhydrique et hydroxyde de sodium pour équilibrer le pH.

Comment doit-on employer ce médicament ?

La dose recommandée d'insuline dépend de la production d'insuline naturelle de votre pancréas et de l'utilisation que votre corps en fait. La dose qui vous convient sera déterminée par votre médecin, ou par votre éducateur spécialisé en diabète. Pour ce faire, il tiendra compte de divers facteurs de mode de vie ainsi que des valeurs obtenues lors de la surveillance de votre sucre sanguin.

Votre dose d'insuline devrait être injectée par voie sous-cutanée (sous la peau) ou au moyen d'une pompe à insuline conformément aux directives de votre médecin ou de votre éducateur spécialisé en diabète. La dose d'insuline se mesure en unités internationales (UI). Chaque millilitre d'insuline contient 100 UI.

Quand l'insuline glulisine est injectée sous la peau, l'injection doit être faite dans les 15 minutes qui précèdent ou les 20 minutes qui suivent le début d'un repas. Les insulines qui ont une durée d'action plus étendue sont souvent utilisées en même temps que l'insuline glulisine pour couvrir l'intervalle de temps entre les doses d'insuline glulisine. L'administration des doses d'insuline varie beaucoup. Afin de diminuer l'irritation au lieu d'injection, attendez que l'insuline glulisine atteigne la température ambiante avant de l'injecter.

L'insuline glulisine devrait être limpide et incolore. Ne l'utilisez pas si la solution présente des anomalies comme un aspect trouble, une couleur anormale ou des particules en suspension.

Plusieurs facteurs peuvent entrer en ligne de compte pour déterminer la dose dont une personne a besoin : son poids, son état de santé et la prise d'autres médicaments. Si votre médecin a recommandé une dose autre que celles indiquées ici, ne modifiez pas la manière d'employer le médicament sans le consulter au préalable.

Il est très important que ce médicament soit employé conformément aux indications de votre médecin. Le choix du moment de l'injection de l'insuline et de la prise des repas est crucial à l'équilibre de la glycémie.

Mettez les fioles d'insuline glulisine au réfrigérateur jusqu'au moment où vous en aurez besoin, et employez-les avant la date de péremption figurant sur l'étiquette du produit. Évitez le gel. Les fioles ouvertes peuvent se conserver pour 28 jours soit au réfrigérateur, soit à la température ambiante, à condition qu'elle ne dépasse pas 25 °C. Les stylos préremplis dont l'emballage a été ouvert ne doivent pas être réfrigérés, mais conservés à la température ambiante pour une durée maximale de 28 jours, à une température ne dépassant pas 25 °C. L'insuline ne doit pas être exposée à des températures très élevées ni à la lumière du soleil. Gardez l'insuline hors de la portée des enfants. Les dispositifs d'administration (les réservoirs, les tubulures et les cathéters) des pompes à insuline, et l'insuline qu'ils contiennent, devraient être jetés au plus tard après 2 jours d'emploi, ou après une exposition à une température supérieure à 37 °C.

Ne jetez pas de médicaments dans les eaux usées (par ex. pas dans l'évier ni dans la cuvette des cabinets) ni avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien comment vous débarrasser des médicaments inutilisés ou périmés.

Dans quels cas ce médicament est-il déconseillé ?

Quiconque ayant une allergie à l'insuline glulisine ou à l'un des ingrédients de ce médicament, ne devrait pas l'utiliser.

Quels sont les effets secondaires possibles de ce médicament ?

Beaucoup de médicaments peuvent provoquer des effets secondaires. Un effet secondaire est une réponse indésirable à un médicament lorsqu'il est employé à des doses normales. Il peut être léger ou grave, temporaire ou permanent. Les effets secondaires énumérés ci-après ne sont pas ressentis par toutes les personnes qui emploient ce médicament. Si les effets secondaires vous inquiètent, discutez des risques et des bienfaits de ce médicament avec votre médecin.

Au moins 1 % des personnes employant ce médicament ont signalé les effets secondaires ci-après. Un grand nombre de ces effets secondaires peuvent être pris en charge et quelques-uns peuvent disparaître d'eux-mêmes avec le temps.

Consultez votre médecin si vous observez ces effets secondaires et s'ils sont graves ou gênants. Votre pharmacien pourrait être en mesure de vous donner des conseils sur la conduite à tenir si ces effets secondaires apparaissaient :

  • un épaississement de la peau au site d'injection;
  • une rougeur, une démangeaison, une enflure ou un saignement au lieu d'injection.

La plupart des effets secondaires figurant ci-après ne surviennent pas très souvent, mais ils pourraient cependant engendrer de graves problèmes si vous ne recevez pas des soins médicaux.
Renseignez-vous auprès de votre médecin au plus tôt si l'un des effets secondaires ci-après se manifeste :

  • des signes d'un taux de glucose sanguin bas :
    • de l'anxiété;
    • des battements de cœur rapides;
    • de la confusion;
    • de la difficulté à parler;
    • un état de nervosité;
    • des étourdissements;
    • de la faiblesse;
    • de la faim;
    • de la fatigue;
    • des frissonnements;
    • des maux de tête;
    • de la nausée;
    • des problèmes de concentration;
    • une sensation d'engourdissement ou de picotement ressentie sur les lèvres, les doigts ou la langue;
    • de la somnolence;
    • de la sudation;
    • une vision floue.

Cessez d'employer le médicament et sollicitez immédiatement des soins médicaux s'il se produit une réponse comme :

  • des crises convulsives;
  • une éruption cutanée ou des cloques sur tout le corps;
  • une perte de connaissance;
  • des symptômes d'une grave réaction allergique (de l'urticaire, une difficulté respiratoire, une respiration sifflante, une fréquence cardiaque rapide, de la sudation, une boursouflure du visage et une enflure de la gorge).

Certaines personnes peuvent ressentir des effets secondaires autres que ceux énumérés. Consultez votre médecin si vous remarquez un symptôme qui vous inquiète pendant que vous employez ce médicament.

Existe-t-il d'autres précautions d'emploi ou mises en garde ?

Avant d'employer un médicament, ne manquez pas d'informer votre médecin des troubles médicaux ou des allergies que vous pourriez avoir, des médicaments que vous utilisez et de tout autre fait important au sujet de votre santé. Les femmes devraient mentionner si elles sont enceintes ou si elles allaitent. Ces facteurs pourraient avoir une influence sur la façon dont vous devriez employer ce médicament.

Aspect de l'insuline : l'insuline glulisine contenue dans la fiole devrait être limpide et incolore. Ne l'utilisez pas, si la solution présente des anomalies comme un aspect trouble, une couleur anormale ou des particules en suspension.

Faible taux de glucose sanguin (hypoglycémie) : une hypoglycémie peut se produire si vous prenez une trop forte dose d'insuline, si vous oubliez un repas ou si vous faites plus d'exercice physique que d'habitude. Parmi les symptômes légers à modérés d'hypoglycémie qui peuvent se manifester soudainement, on retrouve des sueurs froides, un état de nervosité ou des tremblements, des battements de cœur rapides, des maux de tête, de la faim, de la confusion, une sensation de tête légère, de la faiblesse, de l'anxiété, de l'irritabilité, des problèmes de concentration, de la fatigue, et un engourdissement ou des picotements (affectant la langue, les lèvres ou les doigts). Il est possible de corriger une hypoglycémie légère à modérée en consommant des aliments ou des boissons qui contiennent du sucre. Vous devriez toujours avoir une source de sucre à portée de la main, sous forme de bonbons, de comprimés de glucose, de jus de fruit ou de boissons non alcoolisées ordinaires (pas des boissons diététiques).

Une grave hypoglycémie pourrait générer des signes de désorientation, une perte de connaissance et des crises convulsives. Les personnes qui ne peuvent pas prendre de sucre par voie orale, ou qui ont perdu connaissance, pourraient avoir besoin d'une injection de glucagon ou d'une injection par voie intraveineuse (dans la veine) de glucose.

Un faible taux de sucre sanguin pourrait nuire à votre capacité de conduire un véhicule ou de faire fonctionner des machines. Les personnes qui ont de fréquentes chutes de glucose sanguin, et les personnes qui sont moins sensibles aux signes avant-coureurs d'un faible taux de sucre sanguin, devraient déterminer si elles peuvent conduire un véhicule ou faire fonctionner des machines sans danger. Elles devraient également surveiller leurs taux de glucose sanguin plus fréquemment. Discutez avec votre médecin ou un pharmacien si vous avez fréquemment des chutes du taux de glucose sanguin ou si vous avez du mal à identifier les symptômes que vous ressentez.

Identification diabétique : il importe soit de porter un bracelet (ou un collier) soit de transporter une carte signalant que vous souffrez de diabète et que vous prenez de l'insuline.

Mélange d'insulines : votre médecin ou votre éducateur en diabète peut vous suggérer de mélanger l'insuline NPH avec l'insuline glulisine dans une même seringue pour réduire le nombre d'injections nécessaires chaque jour. Cela n'est possible que si vous retirez les insulines de leurs flacons pour les transférer dans une seringue pour injection d'insuline. L'insuline glulisine ne doit pas être mélangée avec d'autres insulines lorsqu'on les utilise dans une pompe à ou un stylo à insuline.

Membre de la famille et amis : sensibilisez les membres de votre famille et vos amis aux signes et symptômes de l'hypoglycémie (un taux de glucose sanguin bas). Gardez une trousse de glucagon à portée de la main et enseignez-leur à l'utiliser convenablement en cas de diminution importante de glucose sanguin et de perte de conscience.

Pompes à insuline : quand vous utilisez une pompe à insuline, ne mélangez pas l'insuline glulisine avec une autre insuline ni une autre solution.

Potassium : l'utilisation de l'insuline peut provoquer une baisse des taux de potassium dans le corps. Ce phénomène est plus susceptible de se produire si vous subissez une perte excessive de potassium en vomissant ou par de la diarrhée. Parmi les symptômes imputables à une baisse du taux de potassium, on retrouve des crampes aux membres inférieurs, de la fatigue, de la constipation et un ralentissement du rythme cardiaque. Signalez ces effets dès que possible à votre médecin.

Réactions allergiques : si vous observez des signes d'une réaction allergique grave (une boursouflure du visage ou une enflure de la gorge, une difficulté respiratoire, une respiration sifflante, une fréquence cardiaque rapide, de la sudation, une pression artérielle basse, ou une éruption cutanée accompagnée d'une démangeaison), cessez d'employer ce médicament et sollicitez immédiatement des soins médicaux.

Réaction cutanée au lieu d'injection : l'injection de l'insuline peut causer une petite dépression dans la peau, un épaississement de la peau, une rougeur cutanée, une enflure ou une démangeaison. Vous pouvez réduire le risque d'apparition de ces complications en variant le lieu d'injection de chaque dose. Si vous observez de telles réactions cutanées, communiquez avec votre médecin ou votre éducateur spécialisé en diabète.

Surveillance du glucose sanguin : il importe que toute personne qui utilise de l'insuline surveille son taux de sucre sanguin régulièrement, comme préconisé par son médecin ou son éducateur spécialisé en diabète. Il est particulièrement important de vérifier votre glucose sanguin plus souvent quand des modifications sont apportées à votre dose d'insuline ou à votre horaire, quand vous êtes malade ou que vous traversez une période de grande tension. Si d'après les résultats des analyses de sang votre taux de glucose est constamment élevé ou bas, communiquez avec votre médecin ou éducateur spécialisé en diabète.

Variations des besoins en insuline : un grand nombre de facteurs peuvent influer sur le taux de glucose et les besoins en insuline. Parmi ceux-ci on peut observer :

  • certains troubles médicaux (par ex. des infections, des troubles de la thyroïde, une maladie du foie ou du rein),
  • des médicaments qui élèvent ou abaissent le taux de glucose sanguin,
  • le régime alimentaire,
  • les exercices physiques,
  • la maladie,
  • un traumatisme,
  • le stress,
  • une intervention chirurgicale,
  • le décalage horaire en voyage.

Il importe que votre médecin soit informé de votre état de santé actuel et de tout changement susceptible d'influer sur vos besoins en insuline. Votre glucose sanguin devrait être surveillé régulièrement, comme préconisé par votre médecin ou votre éducateur spécialisé en diabète.

Grossesse : il est indispensable de maintenir un bon équilibre du glucose sanguin pendant tout le déroulement de la grossesse. Les besoins en insuline diminuent habituellement au cours du 1er trimestre et s'accroissent durant les 2e et 3e trimestres. Par conséquent, communiquez avec votre médecin si vous êtes enceinte ou songez à le devenir.

Allaitement : on ignore si l'insuline glulisine passe dans le lait maternel. Si vous employez ce médicament pendant que vous allaitez, votre bébé pourrait en ressentir les effets. Consultez votre médecin pour savoir si vous devriez continuer l'allaitement. Les femmes qui allaitent auront peut-être besoin de modifier leur dose d'insuline ou leur régime alimentaire.

Enfants : ni l'innocuité ni l'efficacité de ce médicament n'a été établie en ce qui concerne les enfants âgés de moins de 6 ans.

D'autres agents peuvent-ils interagir avec ce médicament ?

Il pourrait se produire une interaction entre l'insuline glulisine, et l'un des agents ci-après :

  • l'acide acétylsalicylique;
  • l'alcool;
  • les antibiotiques de la famille des quinolones (par ex. la ciprofloxacine, la norfloxacine, l'ofloxacine);
  • les antidiabétiques (par ex. la canagliflozine, le chlorpropamide, le gliclazide, le glyburide, l'insuline, le liraglutide, la metformine, la rosiglitazone, la sitagliptine);
  • les antipsychotiques atypiques (par ex. la clozapine, l'olanzapine, la quétiapine, la rispéridone);
  • les bêtabloquants (par ex. le propranolol, le labétalol, l'aténolol);
  • la clarithromycine;
  • les contraceptifs oraux;
  • les corticostéroïdes en inhalation (par ex. le budésonide, le ciclésonide, la fluticasone);
  • les corticostéroïdes oraux (par ex. la dexaméthasone, l'hydrocortisone, la prednisone);
  • le danazol;
  • le disopyramide;
  • les diurétiques (par ex. le furosémide, l'hydrochlorothiazide);
  • l'épinéphrine;
  • le glucagon;
  • l'hormonothérapie thyroïdienne substitutive (par ex. la lévothyroxine);
  • les inhibiteurs de l'ECA (par ex. le ramipril, l'énalapril, le lisinopril);
  • les inhibiteurs de la monoamine-oxydase (IMAO; par ex. la phénelzine, la sélégiline, la tranylcypromine);
  • les inhibiteurs de la protéase du VIH (par ex. l'atazanavir, l'indinavir, le ritonavir, le saquinavir);
  • les inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine (ISRS; par ex. le citalopram, la fluoxétine, la paroxétine, la sertraline);
  • l'isoniazide;
  • le lanréotide;
  • les médicaments antiviraux servant au traitement de l'hépatite C (par ex. le glécaprévir et le pibrentasvir, le lédipasvir, le sofosbuvir, le voxilaprévir);
  • la mifépristone;
  • le millepertuis;
  • la niacine;
  • l'octréotide;
  • les œstrogènes (par ex. les œstrogènes conjugués, l'œstradiol, l'éthinylœstradiol);
  • le pasiréotide;
  • le pegvisomant;
  • les progestatifs (par ex. le diénogest, le lévonorgestrel, la médroxyprogestérone, la noréthindrone);
  • la quinine;
  • la somatostatine;
  • la somatropine;
  • le sulfaméthoxazole;
  • le sunitinib;
  • le tacrolimus;
  • la testostérone.

Si vous employez l'un de ces médicaments, consultez votre médecin ou un pharmacien. Dans votre cas, votre médecin peut vous demander de :

  • cesser la prise de l'un des médicaments,
  • remplacer l'un des médicaments par un autre,
  • modifier la manière dont vous prenez l'un des médicaments, ou les deux,
  • ne rien changer du tout.

L'interférence d'un médicament avec un autre n'entraîne pas toujours l'interruption de la prise de l'un d'eux. Demandez à votre médecin quelle est la conduite à tenir en cas d'interactions médicamenteuses.

D'autres médicaments que ceux énumérés précédemment peuvent interagir avec ce médicament. Signalez à votre médecin tout ce que vous prenez, qu'il s'agisse de médicaments sur ordonnance ou en vente libre et de remèdes à base de plantes médicinales. N'oubliez pas de mentionner tout supplément que vous absorbez. Si vous consommez de la caféine, de l'alcool, de la nicotine ou des drogues illicites, vous devriez en avertir votre médecin prescripteur puisque ces substances peuvent modifier l'action de nombreux médicaments.

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