Comment ce médicament agit-il ? Quels sont ses effets ?

Ce médicament contient 3 ingrédients actifs : l'étafédrine, la doxylamine et l'hydrocodone. Il aide à maîtriser la toux associée à l'inflammation de la bouche et de la gorge que les médicaments antitussifs moins forts ne peuvent maîtriser.

L'hydrocodone est un médicament narcotique antitussif (il atténue la toux). Elle aide à diminuer la toux en agissant sur le centre de la toux du cerveau.

L'étafédrine appartient à la famille de médicaments appelés décongestionnants. Elle agit en réduisant la taille des vaisseaux sanguins dans les voies nasales, ce qui aide à atténuer la congestion nasale.

La doxylamine appartient à une famille de médicaments appelés antihistaminiques. Elle agit en asséchant l'excès de liquide qui provoque l'écoulement nasal et le larmoiement.

Il se pourrait que votre médecin ait suggéré ce médicament contre une affection qui ne figure pas dans cet article d'information sur les médicaments. En outre, certaines formes de ce médicament pourraient ne pas être utilisées pour tous les troubles mentionnés dans cet article. Si vous n'en avez pas encore discuté avec votre médecin, ou si vous avez des doutes sur les raisons pour lesquelles vous prenez ce médicament, consultez-le. Ne cessez pas de prendre ce médicament sans avoir consulté votre médecin au préalable.

Ne donnez pas ce médicament à quiconque, même à quelqu'un qui souffre des mêmes symptômes que les vôtres. Ce médicament pourrait être nuisible aux personnes pour lesquelles il n'a pas été prescrit.

Sous quelles formes ce médicament se présente-t-il ?

ratio-Calmydone n'est plus fabriqué ni vendu au Canada. Lancez une recherche en tapant « étafédrine - doxylamine - hydrocodone » pour trouver des marques qui sont encore offertes. Cet article n'est disponible qu'à des fins de consultation. Si vous utilisez ce médicament, discutez avec votre médecin ou un pharmacien de vos options thérapeutiques.

Comment doit-on employer ce médicament ?

Pour les adultes, la dose recommandée est de 5 mL (1 cuillère à thé) toutes les 3 à 5 heures au besoin, mais pas plus de 30 mL pour une période de 24 heures.

Utilisez une seringue orale pour mesurer chaque dose, car vous obtiendrez une mesure plus juste qu'avec des cuillerées à thé de ménage.

Plusieurs facteurs peuvent entrer en ligne de compte pour déterminer la dose dont une personne a besoin : son poids, son état de santé et la prise d'autres médicaments. Si votre médecin a recommandé une dose autre que celles indiquées ici, ne modifiez pas la manière de prendre le médicament sans le consulter au préalable.

Il est important d'utiliser ce médicament conformément aux indications de votre médecin. Si vous oubliez une dose, prenez le médicament dès que vous constatez l'omission et reprenez la suite du traitement aussitôt que possible. S'il est presque temps de prendre votre prochaine dose, ne vous souciez pas de la dose omise et reprenez le schéma posologique usuel. N'utilisez pas une double dose pour compenser l'omission d'une dose. Si vous hésitez sur la conduite à tenir après avoir omis une dose, demandez conseil à votre médecin ou à un pharmacien.

Conservez ce médicament à la température ambiante, à l'abri de la lumière et hors de la portée des enfants.

Ne jetez pas de médicaments dans les eaux usées (par ex. pas dans l'évier ni dans la cuvette des cabinets) ni avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien comment vous débarrasser des médicaments inutilisés ou périmés.

Dans quels cas ce médicament est-il déconseillé ?

Ne prenez pas la combinaison étafédrine - doxylamine – hydrocodone dans les situations suivantes :

  • une allergie à l'hydrocodone, à l'étafédrine, à la doxylamine, au citrate de sodium ou à l'un des ingrédients du médicament;
  • une allergie à un autre médicament de type « opioïde »;
  • un blocage intestinal ou une affection qui ralentit le passage du bol alimentaire dans les voies digestives;
  • une dépression respiratoire (une respiration lente et superficielle);
  • une difficulté respiratoire;
  • une grossesse ou l'allaitement au sein;
  • un niveau de conscience diminué;
  • la présence ou la possibilité d'une appendicite ou d'une pancréatite;
  • la prise actuelle ou au cours des derniers 14 jours d'un inhibiteur de la monoamine oxydase ou IMAO (par ex. la phénelzine, la tranylcypromine);
  • si vous êtes alcoolique ou si vous subissez un sevrage alcoolique;
  • un traumatisme crânien ou une augmentation de la pression intracrânienne ou de la moelle épinière;
  • un trouble convulsif.

Ne donnez pas ce médicament à des enfants de moins de 18 ans.

Quels sont les effets secondaires possibles de ce médicament ?

Beaucoup de médicaments peuvent provoquer des effets secondaires. Un effet secondaire est une réponse indésirable à un médicament lorsqu'il est pris à des doses normales. Il peut être léger ou grave, temporaire ou permanent. Les effets secondaires énumérés ci-après ne sont pas ressentis par toutes les personnes qui prennent ce médicament. Si les effets secondaires vous inquiètent, discutez des risques et des bienfaits de ce médicament avec votre médecin.

Au moins 1 % des personnes prenant ce médicament ont signalé les effets secondaires ci-après. Un grand nombre de ces effets secondaires peuvent être pris en charge et quelques-uns peuvent disparaître d'eux-mêmes avec le temps.

Consultez votre médecin si vous ressentez ces effets secondaires et s'ils sont graves ou gênants. Votre pharmacien pourrait être en mesure de vous donner des conseils sur la conduite à tenir si ces effets secondaires apparaissaient :

  • un assoupissement;
  • une baisse de l'appétit;
  • une baisse des capacités sexuelles ou de l'intérêt pour l'activité sexuelle;
  • de la constipation;
  • une démangeaison;
  • une fatigue ou une faiblesse inaccoutumée;
  • des maux de tête;
  • de la nausée;
  • une sécheresse de la bouche;
  • des troubles du sommeil;
  • des vomissements.

La plupart des effets secondaires figurant ci-après ne surviennent pas très souvent, mais ils pourraient cependant engendrer de graves problèmes si vous ne recevez pas des soins médicaux.

Renseignez-vous auprès de votre médecin au plus tôt si un des effets secondaires ci-après se manifeste :

  • des anomalies du champ visuel;
  • l'apparition ou l'augmentation de la constipation;
  • des battements de cœur rapides, lents ou très forts;
  • une dépression mentale ou d'autres changements de l'humeur ou de l'état mental;
  • un essoufflement, une respiration sifflante ou une difficulté à respirer;
  • des hallucinations (le fait de voir, d'entendre ou de ressentir des choses qui n'existent pas vraiment);
  • des mouvements musculaires incoordonnés;
  • une respiration irrégulière;
  • une sudation accrue;
  • des symptômes attribuables à une baisse de la tension artérielle (par ex. des étourdissements, un évanouissement, une sensation de tête légère, en particulier en se levant depuis les positions assise ou couchée);
  • de l'urticaire, une démangeaison ou une éruption cutanée.

Cessez de prendre le médicament et sollicitez immédiatement des soins médicaux s'il se produit une réponse comme :

  • des battements du cœur lents;
  • une confusion ou une désorientation importante;
  • une contraction exagérée de la pupille;
  • des convulsions;
  • un essoufflement ou une difficulté respiratoire (intense ou persistant);
  • un état de forte nervosité ou de forte agitation;
  • une faiblesse intense;
  • une grave douleur gastrique;
  • de la nausée ou des vomissements importants;
  • des maux de tête (intenses ou persistants);
  • la peau moite et froide;
  • des signes d'une réaction allergique grave comme de l'urticaire, une difficulté respiratoire, une enflure de la langue, du visage, de la bouche ou de la gorge;
  • une somnolence profonde;
  • des symptômes du syndrome sérotoninergique (par ex. de la confusion, battements de cœur rapides, des hallucinations, un état d'excitation, des tremblements, des frissonnements, des soudaines contractions des muscles, de la sudation).

Certaines personnes peuvent ressentir des effets secondaires autres que ceux énumérés. Consultez votre médecin si vous remarquez un symptôme qui vous inquiète pendant que vous prenez ce médicament.

Existe-t-il d'autres précautions d'emploi ou mises en garde ?

Avant d'employer un médicament, ne manquez pas d'informer votre médecin des troubles médicaux ou des allergies que vous pourriez avoir, des médicaments que vous utilisez et de tout autre fait important au sujet de votre santé. Les femmes devraient mentionner si elles sont enceintes ou si elles allaitent. Ces facteurs pourraient avoir une influence sur la façon dont vous devriez employer ce médicament.

AVIS DE SANTÉ CANADA

24 août 2020

Santé Canada a émis de nouvelles mises en garde concernant l'emploi de la codéine sur ordonnance. Pour lire dans son intégralité l'avis de Santé Canada, rendez-vous vers le site Web de Santé Canada à l'adresse www.hc-sc.gc.ca.

D'autres avis avaient également été émis le 18 février 2019 au sujet de la codéine sur ordonnance.
Alcool et autres médicaments causant de la somnolence : les personnes qui prennent ce médicament ne doivent pas le combiner avec de l'alcool et doivent éviter de le combiner avec d'autres médicaments qui provoquent de la somnolence comme des sédatifs, des médicaments antidépresseurs ou des médicaments anxiolytiques. Sinon, cela pourrait provoquer un effet additif de la somnolence et une baisse de la respiration, de même que certains autres effets secondaires possiblement dangereux et possiblement mortelles.

Constipation : il se peut que l'hydrocodone aggrave la constipation des personnes qui sont atteintes de cette affection de façon chronique. Les personnes atteintes de constipation chronique devraient discuter avec leur médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur leur affection, comment leur affection pourrait influer sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et lui demander si les bienfaits potentiels priment les risques.

Dépendance aux médicaments : l'hydrocodone peut engendrer une dépendance au médicament et possède un potentiel d'abus par ses utilisateurs. Il peut se développer une dépendance psychologique, une dépendance physique et un phénomène de tolérance si on utilise ce médicament de façon régulière pour une période de temps prolongée. Discutez avec votre médecin de ce qui vous inquiète.

Désordres convulsifs : les personnes atteintes de désordres convulsifs ou qui ont des antécédents de convulsions devraient discuter avec leur médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur leur affection, comment leur affection pourrait influer sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique.

Effets de sevrage : comme les autres médicaments narcotiques, l'hydrocodone peut produire une dépendance physique, accompagnée ou non de dépendance psychologique, lorsqu'on la prend régulièrement pendant une période prolongée. Si la prise de ce médicament est interrompue subitement, des symptômes de sevrage peuvent survenir, comme des douleurs corporelles, de la diarrhée, une diminution de l'appétit, un écoulement nasal, des éternuements, des tremblements, des frissons, de la nausée, une sudation excessive, des bâillements et de la faiblesse. Si vous avez pris ce médicament de façon habituelle, parlez à votre médecin avant de cesser de le prendre.

Respiration : l'hydrocodone peut causer un arrêt respiratoire. Les personnes qui présentent des facteurs de risque de difficultés respiratoires comme l'asthme devraient discuter avec leur médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur leur affection, comment leur affection pourrait influer sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique.

Somnolence ou vigilance réduite : l'utilisation de l'hydrocodone est susceptible de réduire les capacités mentales ou physiques nécessaires à l'accomplissement de certaines tâches comme conduire un véhicule ou faire fonctionner des machines. Évitez ces activités jusqu'au moment où vous aurez déterminé l'effet de ce médicament sur vos capacités de réaction.

Syndrome sérotoninergique : bien que rarement, des réactions importantes sont possibles lorsque la prise de l'hydrocodone est combinée à celle d'autres médicaments qui agissent sur la sérotonine, comme les antidépresseurs tricycliques et les inhibiteurs du recaptage de la sérotonine (médicaments utilisés pour soigner une dépression). Si possible, on doit éviter ces combinaisons. Les symptômes d'une réaction sont, entre autres, une rigidité et des spasmes musculaires, une difficulté à bouger ou une altération de l'état mental – y compris un délire et de l'agitation. Le coma et la mort pourraient également se produire.

Traumatisme crânien : les personnes souffrant d'un traumatisme crânien ou d'une pression intracrânienne accrue courent un risque accru d'effets secondaires (troubles respiratoires) ou d'aggravation de leur trouble pendant qu'elles prennent ce médicament. Elles devraient discuter avec leur médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur leur état pathologique, comment leur état pathologique pourrait influer sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique.

Utilisation accidentelle : lorsque ce médicament est utilisé par une personne à qui elle n'a pas été prescrite, ses effets peuvent être mortels. Les enfants sont particulièrement à risque. Gardez ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants.

Grossesse : ce médicament ne devrait pas s'utiliser durant la grossesse à moins que les bienfaits priment les risques. Si une grossesse advient pendant que vous utilisez ce médicament, prenez contact avec votre médecin immédiatement. Si une femme a pris ce médicament pendant une période prolongée avant son accouchement, son nourrisson peut présenter de graves difficultés respiratoires de même que des symptômes de retrait.

Allaitement : ce médicament peut passer dans le lait maternel. Si vous employez ce médicament pendant que vous allaitez, votre bébé pourrait en ressentir les effets. Consultez votre médecin pour savoir si vous devriez continuer l'allaitement.

Enfants : les enfants sont particulièrement susceptibles de subir des effets secondaires graves et une surdose s'ils prennent ce médicament. On ne doit pas donner ce médicament à des enfants de moins de 18 ans.

D'autres agents peuvent-ils interagir avec ce médicament ?

Il pourrait se produire une interaction entre ce médicament et l'un des médicaments ci-après :

  • l'aclidinium;
  • les alcaloïdes de l'ergot de seigle (par ex. la dihydroergotamine, le disopyramide, l'ergotamine);
  • l'alcool;
  • les alphabloquants (par ex. l'alfuzosine, la doxazosine, la tamsulosine);
  • l'amiodarone;
  • les amphétamines (par ex. la dextroamphétamine, la lisdexamfétamine);
  • les anesthésiques généraux (les médicaments utilisés pour provoquer un sommeil profond avant une intervention chirurgicale);
  • les antagonistes du calcium (par ex. l'amlodipine, le diltiazem, la nifédipine, le vérapamil);
  • les antibiotiques macrolides (par ex. la clarithromycine, l'érythromycine);
  • les anticonvulsivants (par ex. l'acide valproïque, la carbamazépine, le clobazam, le lévétiracétam, le phénobarbital, la phénytoïne, la primidone, le topiramate);
  • les antidépresseurs tricycliques (par ex. le clomipramine, la désipramine, l'imipramine);
  • les antifongiques dont le nom se termine en « azole » (par ex. le fluconazole, l'itraconazole, le kétoconazole);
  • les antihistaminiques (par ex. la bilastine, la chlorphéniramine, la diphenhydramine, l'hydroxyzine, la rupatadine);
  • les antipsychotiques (par ex. la chlorpromazine, la clozapine, l'halopéridol, l'olanzapine, la quétiapine, la rispéridone);
  • d'autres analgésiques narcotiques (par ex. la codéine, le fentanyl, la morphine);
  • les barbituriques (par ex. le phénobarbital, le butalbital);
  • les benzodiazépines (par ex. le diazépam, le lorazépam, l'oxazépam);
  • la benztropine;
  • le bosentan;
  • la brimonidine;
  • la bromocriptine;
  • la buspirone;
  • le cannabis;
  • le cobicistat;
  • le conivaptan;
  • le danazol;
  • la darifénacine;
  • la desmopressine;
  • les diurétiques (pilules pour éliminer l'eau; par ex. le furosémide, l'hydrochlorothiazide, le triamtérène);
  • l'entacapone;
  • l'enzalutamide;
  • l'eskétamine;
  • l'étravirine;
  • la flunarizine;
  • la galantamine;
  • le glycopyrrolate;
  • l'hydrate de chloral;
  • les inhibiteurs de la monoamine-oxydase (IMAO; par ex. la phénelzine, la rasagiline, la sélégiline, la tranylcypromine);
  • les inhibiteurs de la protéase du VIH (par ex. l'atazanavir, l'indinavir, le ritonavir, le saquinavir);
  • les inhibiteurs des protéines kinases (par ex. le céritinib, le crizotinib, l'imatinib, le nilotinib);
  • les inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine (ISRS; par ex. le citalopram, la fluoxétine, la paroxétine, la sertraline);
  • les inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine-noradrénaline ou ISRN (par ex. la desvenlafaxine, la duloxétine, la venlafaxine);
  • l'ipratropium;
  • le jus de pamplemousse;
  • le lithium;
  • les médicaments anticholinergiques (par ex. l'atropine, la scopolamine);
  • le méthylphénidate;
  • la mifépristone;
  • le millepertuis;
  • le mirabégron;
  • la mirtazapine;
  • le mitotane;
  • le modafinil;
  • le nabilone;
  • la naltrexone;
  • l'octréotide;
  • l'oxybutynine;
  • le pegvisomant;
  • le pitolisant;
  • le pramipexole;
  • la quinidine;
  • les relaxants musculaires (par ex. le baclofène, la cyclobenzaprine, le méthocarbamol, l'orphénadrine);
  • le ropinirole;
  • la scopolamine;
  • la solifénacine;
  • le tétrahydrocannabinol ou THC;
  • le tiotropium;
  • la toltérodine;
  • la trazodone;
  • le trospium;
  • le tryptophane;
  • l'uméclidinium;
  • le zolpidem;
  • la zopiclone.

Si vous prenez l'un de ces médicaments, consultez votre médecin ou un pharmacien. Dans votre cas, votre médecin pourrait vous demander de :

  • cesser la prise de l'un des médicaments,
  • remplacer l'un des médicaments par un autre,
  • modifier la manière dont vous prenez l'un des médicaments, ou les deux,
  • ne rien changer du tout.

L'interférence d'un médicament avec un autre n'entraîne pas toujours l'interruption de la prise de l'un d'eux. Demandez à votre médecin quelle est la conduite à tenir en cas d'interactions médicamenteuses.

D'autres médicaments que ceux énumérés précédemment peuvent interagir avec ce médicament. Signalez à votre médecin tout ce que vous prenez, qu'il s'agisse de médicaments sur ordonnance ou en vente libre et de remèdes à base de plantes médicinales. N'oubliez pas de mentionner tout supplément que vous absorbez. Si vous consommez de la caféine, de l'alcool, de la nicotine ou des drogues illicites, vous devriez en avertir votre médecin prescripteur puisque ces substances peuvent modifier l'action de nombreux médicaments.

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