Comment ce médicament agit-il ? Quels sont ses effets ?

L'idélalisib appartient à la classe de médicaments anticancéreux connus sous le nom d'antinéoplasiques, et plus particulièrement au groupe de médicaments appelés inhibiteurs de la protéine tyrosine kinase. Ces médicaments ralentissent la reproduction des cellules cancéreuses et ils les tuent.

On utilise l'idélalisib en combinaison avec un autre médicament, le rituximab, pour traiter un certain type de cancer du sang (appelé leucémie lymphoïde chronique [LLC]) qui a déjà été traitée et a récidivé.

On utilise également l'idélalisib pour traiter le lymphome folliculaire qui a déjà été traité sans succès au moins deux fois. Il s'agit d'un type de lymphome non hodgkinien touchant les globules blancs appelés lymphocytes qui jouent un rôle important dans la lutte contre les infections.

Ce médicament est disponible sous divers noms de marque ou sous différentes présentations. Une marque spécifique de ce médicament n'est peut-être pas offerte sous toutes les formes ni avoir été approuvée contre toutes les affections dont il est question ici. En outre, certaines formes de ce médicament pourraient ne pas être utilisées contre toutes les affections mentionnées dans cet article.

Il se pourrait que votre médecin ait suggéré ce médicament contre une affection qui ne figure pas dans cet article d'information sur les médicaments. Si vous n'en avez pas encore discuté avec votre médecin, ou si vous avez des doutes sur les raisons pour lesquelles vous prenez ce médicament, consultez-le. Ne cessez pas de prendre ce médicament sans avoir consulté votre médecin au préalable.

Ne donnez ce médicament à personne, même à quelqu'un qui souffre des mêmes symptômes que vous. Ce médicament pourrait nuire aux personnes pour lesquelles il n'a pas été prescrit.

Sous quelles formes ce médicament se présente-t-il ?

100 mg
Chaque comprimé pelliculé ovale orange portant les inscriptions en creux « GSI » sur un côté et du chiffre « 100 » sur l'autre contient 100 mg d'idélalisib. Ingrédients non médicinaux : croscarmellose sodique, hydroxypropylcellulose, stéarate de magnésium, cellulose microcristalline et glycolate d'amidon sodique; pelliculage : substrat d'aluminium jaune soleil FCF (AD&C jaune nº 6), polyéthylène glycol, talc, l'alcool polyvinylique et dioxyde de titane.

150 mg
Chaque comprimé pelliculé ovale rose portant les inscriptions en creux « GSI » sur un côté et du chiffre « 150 » sur l'autre contient 150 mg d'idélalisib. Ingrédients non médicinaux : croscarmellose sodique, hydroxypropylcellulose,stéarate de magnésium, cellulose microcristalline etglycolate d'amidon sodique; pelliculage : oxyde de fer rouge, polyéthylène glycol, talc, l'alcool polyvinylique et dioxyde de titane.

Comment doit-on employer ce médicament ?

La dose recommandée d'idélalisib pour les adultes est de 150 mg pris par la bouche 2 fois par jour. L'idélalisib peut être pris avec des aliments ou à jeun.

Plusieurs facteurs peuvent entrer en ligne de compte pour déterminer la dose dont une personne a besoin : son poids, son état de santé et la prise d'autres médicaments. Si votre médecin a recommandé une dose autre que celles indiquées ici, ne modifiez pas la manière de prendre le médicament sans le consulter au préalable.

Il est important d'utiliser ce médicament conformément aux indications de votre médecin. Si vous oubliez une dose et qu'il reste plus de 6 heures avant la dose suivante, prenez le médicament dès que vous constatez l'omission, et reprenez la suite du traitement. Si votre prochaine dose est prévue dans moins de 6 heures, ne vous souciez pas de la dose omise et reprenez le schéma posologique usuel. N'utilisez pas une double dose pour compenser l'omission d'une dose. Si vous hésitez sur la conduite à tenir après avoir omis une dose, demandez conseil à votre médecin ou à un pharmacien.

Entreposez ce médicament à la température ambiante, à l'abri de la lumière et de l'humidité et hors de la portée des enfants.

Ne jetez pas de médicaments dans les eaux usées (par ex. pas dans l'évier ni dans la cuvette des cabinets) ni avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien comment vous débarrasser des médicaments inutilisés ou périmés.

Dans quels cas ce médicament est-il déconseillé ?

N'utilisez pas l'idélalisib si vous :

  • êtes allergique à ce médicament ou à n'importe lequel de ses ingrédients;
  • n'avez pas déjà reçu au moins un autre médicament pour traiter la LLC ou deux autres médicaments pour traiter le lymphome folliculaire.

Quels sont les effets secondaires possibles de ce médicament ?

Beaucoup de médicaments peuvent provoquer des effets secondaires. Un effet secondaire est une réponse indésirable à un médicament lorsqu'il est pris à des doses normales. Il peut être léger ou grave, temporaire ou permanent.

Les effets secondaires énumérés ci-après ne sont pas ressentis par toutes les personnes qui prennent ce médicament. Si les effets secondaires vous inquiètent, discutez des risques et des bienfaits de ce médicament avec votre médecin.

Au moins 1 % des personnes prenant ce médicament ont signalé les effets secondaires ci-après. Un grand nombre de ces effets secondaires peuvent être pris en charge et quelques-uns peuvent disparaître d'eux-mêmes avec le temps.

Consultez votre médecin si vous ressentez ces effets secondaires et s'ils sont graves ou gênants. Votre pharmacien pourrait être en mesure de vous donner des conseils sur la conduite à tenir si ces effets secondaires apparaissaient :

  • une baisse de l'appétit;
  • des brûlures d'estomac;
  • une diarrhée (légère);
  • une douleur articulaire ou musculaire;
  • une douleur gastrique;
  • de la fatigue;
  • l'hypersensibilité au soleil;
  • des lésions dans la bouche;
  • des maux de tête;
  • de la nausée;
  • des sueurs nocturnes;
  • des symptômes du rhume (par ex. une congestion nasale, une toux);
  • des troubles du sommeil;
  • des vomissements.

La plupart des effets secondaires figurant ci-après ne surviennent pas très souvent, mais ils pourraient cependant engendrer de graves problèmes si vous ne recevez pas des soins médicaux.
Renseignez-vous auprès de votre médecin au plus tôt si l'un des effets secondaires ci-après se manifeste :

  • une diarrhée aiguë;
  • une douleur musculaire;
  • une fièvre ou des frissons;
  • une éruption cutanée;
  • une rétention de liquide (par ex. une enflure des pieds, des chevilles ou de la partie inférieure des jambes);
  • des signes attribuables à des problèmes respiratoires (par ex. de l'essoufflement, des difficultés ou des sifflements respiratoires, une douleur thoracique en barre ou un rythme respiratoire rapide ou irrégulier);
  • des signes attribuables à de la déshydratation (par ex. une réduction de la production d'urine, de la sécheresse cutanée, de la sécheresse et de l'empâtement de la bouche, de la somnolence, des étourdissements, des maux de tête, de la soif, de la confusion);
  • des signes d'infection (symptômes pouvant comprendre une fièvre ou des frissons, une diarrhée grave, un essoufflement, des étourdissements prolongés, un mal de tête, une raideur du cou, une perte de poids ou un abattement);
  • des signes de troubles hépatiques (par ex. de la nausée, des vomissements, de la diarrhée, une perte de l'appétit, une perte de poids, le jaunissement de la peau ou du blanc des yeux, une urine sombre, des selles claires);
  • des symptômes d'une infection des voies urinaires (par ex. de la douleur lors de l'émission de l'urine, fréquence accrue de l'émission d'urine, de la douleur dans le bas du dos ou de flanc).

Cessez de prendre le médicament et sollicitez immédiatement des soins médicaux s'il se produit une réponse comme :

  • des signes d'une grave réaction cutanée (comme des cloques, une desquamation, une éruption cutanée recouvrant une grande région du corps, une éruption cutanée qui s'étend rapidement ou une éruption cutanée accompagnée d'une fièvre ou d'une gêne);
  • des signes d'une réaction allergique importante (par ex. des crampes abdominales, une difficulté respiratoire, des nausées et des vomissements, ou une boursouflure du visage et une enflure de la gorge);
  • des symptômes attribuables à la leucoencéphalopathie multifocale progressive (par ex. de la difficulté à marcher, une perte de mémoire, des troubles de la pensée, de la confusion, une perte visuelle).

Certaines personnes peuvent ressentir des effets secondaires autres que ceux énumérés. Consultez votre médecin si vous remarquez un symptôme qui vous inquiète pendant que vous employez ce médicament.

Existe-t-il d'autres précautions d'emploi ou mises en garde ?

Avant d'employer un médicament, ne manquez pas d'informer votre médecin des troubles médicaux ou des allergies que vous pourriez avoir, des médicaments que vous utilisez et de tout autre fait important au sujet de votre santé. Les femmes devraient mentionner si elles sont enceintes ou si elles allaitent. Ces facteurs pourraient avoir une influence sur la façon dont vous devriez employer ce médicament.

Contraception : les femmes en mesure de procréer doivent utiliser une méthode efficace de contraception pendant qu'elles utilisent l'idélalisib et pendant au moins un mois après l'arrêt du traitement. Comme l'idélalisib peut réduire l'efficacité des contraceptifs oraux, on doit également utiliser une méthode de contraception barrière.

Diarrhée : certaines personnes qui ont utilisé de l'idélalisib ont subi de la diarrhée importante ou de l'inflammation des intestins. Si vous avez des antécédents de maladie inflammatoire des intestins, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique.

Les problèmes gastrointestinaux peuvent provoquer de la diarrhée susceptible de mener à de la déshydratation (perte de liquide excessive de l'organisme). Si vous avez une diarrhée aiguë et qu'elle persiste au-delà de 24 heures, ou si vous avez une diarrhée qui s'accompagne d'une fièvre, d'une émission de l'urine diminuée, d'étourdissements ou de battements de cœur rapides, prenez contact avec votre médecin immédiatement.

Fonction hépatique : la maladie hépatique ou la réduction de la fonction hépatique peut provoquer une accumulation de ce médicament dans l'organisme, causant ainsi des effets secondaires. L'idélalisib peut réduire la fonction hépatique et provoquer une insuffisance hépatique. En cas de troubles hépatiques, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique. Votre médecin surveillera votre fonction hépatique par des analyses de sang qu'il prescrira régulièrement pendant que vous employez ce médicament.

L'utilisation de ce médicament n'est pas recommandée aux personnes atteintes d'hépatite ou d'une autre maladie active du foie.

Infection : non seulement l'idélalisib tue les cellules cancéreuses, mais elle peut faire chuter le nombre de cellules qui combattent l'infection dans le corps (les globules blancs). Si possible, évitez d'entrer en contact avec les personnes ayant une infection contagieuse. Communiquez avec votre médecin immédiatement si vous observez des signes d'une infection, comme une fièvre, des frissons, une diarrhée aiguë, un essoufflement, des étourdissements prolongés, des maux de tête, de la raideur dans le cou, une perte de poids ou un manque d'énergie. Votre médecin demandera des analyses de sang régulièrement pour surveiller le nombre des différents types de cellules sanguines.

Des infections sérieuses parfois susceptibles de menacer la vie peuvent se produire lorsqu'on prend de l'idélalisib. Des antibiotiques sont souvent pris pour prévenir les infections causées par certaines bactéries durant le traitement avec ce médicament et pendant plusieurs mois après avoir cessé de le prendre.

Inflammation des poumons : on a rapporté qu'une inflammation pulmonaire (pneumopathie) provoquant des difficultés respiratoires s'était produite à des rares occasions chez certaines personnes qui avaient pris ce médicament. Cette complication peut être grave et peut parfois entraîner la mort. Si votre essoufflement s'aggrave ou vous ressentez soudain un essoufflement, accompagné ou non d'une fièvre, à n'importe quel moment durant votre traitement par l'idélalisib, communiquez immédiatement avec votre médecin.

Leucoencéphalite multifocale progressive (LEMP) : des cas de LEMP ont été signalés suite à l'utilisation de l'idélalisib. La LEMP est un trouble rare qui entraîne des lésions nerveuses dans le cerveau. Si vous observez une perte de mémoire, une perte de vision, de la difficulté à réfléchir ou à marcher, prenez immédiatement contact avec votre médecin.

Sensibilité à la lumière du soleil : la prise de ce médicament peut augmenter la sensibilité de la peau à la lumière du soleil, ce qui augmente le risque de coup de soleil. Évitez de vous exposer à la lumière du soleil pendant des périodes de temps prolongées, en particulier entre 10 h et 14 h, pendant que vous prenez ce médicament. Utilisez un écran solaire à large spectre et un baume à lèvres avec un FPS de 30 ou plus. Si vous remarquez une éruption cutanée ou une desquamation inhabituelle, communiquez immédiatement avec votre médecin.

Syndrome d'hypersensibilité : quelques personnes ont observé une grave réaction allergique appelée syndrome d'hypersensibilité lorsqu'elles ont suivi un traitement par l'idélalisib. Suspendez la prise du médicament et demandez immédiatement des soins médicaux en cas de symptômes d'une grave réaction allergique, notamment une fièvre, une augmentation de volume des ganglions, le jaunissement de la peau ou du blanc des yeux, des symptômes attribuables à la grippe tels que des éruptions cutanées ou des cloques.

Grossesse : ce médicament ne devrait pas s'utiliser durant la grossesse à moins que les bienfaits priment les risques. Si une grossesse advient pendant que vous utilisez ce médicament, prenez contact avec votre médecin immédiatement.

Allaitement : on ignore si l'idélalisib passe dans le lait maternel. Si vous prenez ce médicament pendant que vous allaitez, votre bébé pourrait en ressentir les effets. Consultez votre médecin pour savoir si vous devriez continuer l'allaitement.

Enfants : ni l'innocuité ni l'efficacité de ce médicament n'a été établie en ce qui concerne les enfants.

Aînés : les personnes âgées peuvent être plus susceptibles de subir des effets secondaires importants lors de la prise de l'idélalisib.

D'autres agents peuvent-ils interagir avec ce médicament ?

Il pourrait se produire une interaction entre l'idélalisib et l'un des agents ci-après :

  • les alphabloquants (par ex. l'alfuzosin, la doxazosine, la silodosine, la tamsulosine);
  • les antagonistes du calcium (par ex. l'amlodipine, le diltiazem, la nifédipine, le vérapamil);
  • les antiarythmiques (par ex. l'amiodarone, le disopyramide, la lidocaïne, la quinidine);
  • les antibiotiques macrolides (par ex. la clarithromycine, l'érythromycine);
  • les anticancéreux (par ex. le cabazitaxel, le docétaxel, la doxorubicine, l'étoposide, l'ifosfamide, l'irinotécan, la vincristine);
  • les anticonvulsivants (par ex. la carbamazépine, l'eslicarbazépine, le phénobarbital, la phénytoïne);
  • les antifongiques dont le nom se termine en « azole » (par ex. l'itraconazole, le kétoconazole, le voriconazole);
  • les antipsychotiques (par ex. la clozapine, l'halopéridol, la lurasidone, la quétiapine, la rispéridone);
  • l'apalutamide;
  • l'apixaban;
  • l'aprépitant;
  • le bacille Calmette-Guérin (BCG);
  • le baricitinib;
  • les benzodiazépines (par ex. le chlordiazépoxide, le clonazépam, le diazépam, le lorazépam);
  • le bosentan;
  • la buprénorphine;
  • la buspirone;
  • le calcitriol;
  • le cannabis;
  • le cinacalcet;
  • le cobicistat;
  • la colchicine;
  • le conivaptan;
  • les contraceptifs;
  • les corticostéroïdes (par ex. le budésonide, la dexaméthasone, l'hydrocortisone, la prednisone);
  • la cyclosporine;
  • la darifénacine;
  • le déférasirox;
  • le denosumab;
  • les dérivés nitrés (par ex. le dinitrate d'isosorbide, le mononitrate d'isosorbide);
  • le dompéridone;
  • la drospirénone;
  • le dutastéride;
  • l'échinacée;
  • l'éliglustat;
  • l'enzalutamide;
  • l'éplérénone;
  • le fingolimod;
  • la flibansérine;
  • la galantamine;
  • les inhibiteurs de l'intégrase du VIH (par ex. le bictégravir, l'elvitégravir);
  • les inhibiteurs de la phosphodiestérase-5 (par ex. le sildénafil, le tadalafil, le vardénafil);
  • les inhibiteurs de la protéase du VIH (par ex. l'atazanavir, l'indinavir, le nelfinavir, le ritonavir, le saquinavir);
  • les inhibiteurs des protéines kinases (par ex. le bosutinib, le dabrafénib, le dasatinib, l'erlotinib, l'imatinib, le lapatinib, le nilotinib, le pazopanib);
  • les inhibiteurs non-nucléosidiques de la transcriptase inverse du VIH (INNTIs; par ex. l'éfavirenz, l'étravirine, la névirapine, la rilpivirine);
  • l'ivabradine;
  • le léflunomide;
  • le lomitapide;
  • le lumacaftor et l'ivacaftor;
  • le macitentan;
  • le maraviroc;
  • les médicaments à base de 5-ASA (par ex. la mésalamine, l'olsalazine, la sulfasalazine);
  • les médicaments antiviraux servant au traitement de l'hépatite C (par ex. l'elbasvir, le grazoprévir, le lédipasvir, le sofosbuvir, le velpatasvir);
  • les médicaments de type « statine » pour traiter les niveaux élevés de cholestérol (par ex. l'atorvastatine, la lovastatine, la simvastatine);
  • les médicaments de type « triptan » contre la migraine (par ex. l'almotriptan, l'élétriptan);
  • les médicaments renfermant de l'ergot de seigle (comme la dihydroergotamine, l'ergotamine, le méthysergide);
  • la méfloquine;
  • la méthadone;
  • la mifépristone;
  • le millepertuis;
  • la mirtazapine;
  • le modafinil;
  • le naloxégol;
  • les narcotiques analgésiques (par ex. la codéine, le fentanyl, la morphine, l'oxycodone);
  • le natalizumab;
  • l'ocrélizumab;
  • les œstrogènes (par ex. les œstrogènes conjugués, l'œstradiol, l'éthinylœstradiol);
  • l'ondansétron;
  • l'oxybutynine;
  • l'ozanimod;
  • le pimécrolimus;
  • le praziquantel;
  • la primaquine;
  • les progestatifs (par ex. le diénogest, le lévonorgestrel, la médroxyprogestérone, la noréthindrone);
  • la quinine;
  • le raloxifène;
  • le répaglinide;
  • la rifabutine;
  • la rifampine;
  • le riociguat;
  • le roflumilast;
  • la romidepsine;
  • le salmétérol;
  • le sirolimus;
  • la solifénacine;
  • le tacrolimus;
  • le tamoxifène;
  • la tétrabénazine;
  • le ticagrélor;
  • le timolol;
  • le tocilizumab;
  • la toltérodine;
  • le tolvaptan;
  • le tramadol;
  • la trazodone;
  • les vaccins;
  • le vilantérol;
  • la warfarine;
  • le zolpidem;
  • la zopiclone.

Si vous prenez l'un de ces médicaments, consultez votre médecin ou un pharmacien. Dans votre cas, votre médecin pourrait vous demander de :

  • cesser la prise de l'un des médicaments;
  • remplacer l'un des médicaments par un autre;
  • modifier la manière dont vous prenez l'un des médicaments, ou les deux;
  • ne rien changer du tout.

L'interférence d'un médicament avec un autre n'entraîne pas toujours l'interruption de la prise de l'un d'eux. Demandez à votre médecin quelle est la conduite à tenir en cas d'interactions médicamenteuses.

D'autres médicaments que ceux énumérés précédemment peuvent interagir avec ce médicament. Signalez à votre médecin tout ce que vous prenez, qu'il s'agisse de médicaments sur ordonnance ou en vente libre et de remèdes à base de plantes médicinales. N'oubliez pas de mentionner tout supplément que vous prenez. Si vous consommez de la caféine, de l'alcool, de la nicotine ou des drogues illicites, vous devriez en avertir votre médecin prescripteur puisque ces substances peuvent modifier l'action de nombreux médicaments.

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